Princesses Leya Princesses Leya Princesses Leya Princesses Leya Princesses Leya Princesses Leya Princesses Leya
Laura Gilli
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Laura Gilli

PRINCESSES LEYA + 7 WEEKS

Grand amateur de pop acidulé et chemises interflora, Schoumsky a un rêve : gagner l’Eurovision ! Mais dans son entourage, personne ne veut l’aider à part Dedo, « Le prince des ténèbres ».  Sauf que celui-ci pose une condition : l’Eurovision oui ! Mais en faisant du Heavy Metal !
Le résultat : un concert humoristique qui fracasse les clichés ! Une battle musicale pour les amateurs ET les détracteurs de sons saturés !
Voici l’histoire du premier groupe de quasi Metal : Les Princesses Leya !

Dedo : chant - Antoine Schoumsky : guitare & chant - Cléo Bigontina : basse - Xavier Gauduel : batterie

7 Weeks a commencé à écrire des morceaux à l’époque de Myspace, quand il était exotique de traiter de stoner tout groupe qui faisait du rock américain un tant soit peu mélodique. Aujourd’hui, ils défendent un nouvel album percutant, racé, de rock pur jus.

 

Julien Bernard : chant lead, basse - Jérémy Cantin-Gaucher : batterie - PH Marin : backing vocals, keyborards, guitare - Fred Mariolle : guitare

Princesses Leya

Ils auraient pu s'appeler les Lady Di, mais ils préfèrent les princesses qui vont de l'espace plutôt que celles qui vont dans les poteaux... Plus qu'un show live musicale, c'est aussi une comédie, une histoire qui s'adresse évidemment aux amoureux du metal, mais aussi aux réfractaires des sons saturés. Metalleux ou Fans de Vianney, oubliez tout vos clichés ! Les Princesses Leya, c'est un hymne à la tolérance, c'est Christine Boutin qui chante du Lady gaga avec un serre tête ACDC, une culotte Rammstein et des chaussettes Arc en ciel ! Découvrez comment Dédo & Antoine Schoumsky ont réussi à monter un groupe de rock alors qu'ils ne partagent aucune affinité vestimentaire, musicale et capillaire.

Kobayashi

7 Weeks

7 Weeks a commencé à écrire des morceaux à l'époque de Myspace, quand il était exotique de traiter de stoner tout groupe qui faisait du rock lourd un tant soit peu mélodique. Le groupe de Limoges s'est
formé seul sur la route. Cette quête les a menés partout en Europe et au Royaume Uni, jouant devant
des publics très différents, du Rock for People au Hellfest. En 2011, déjà bien rodés et identifiés comme un groupe de rock très organique, ils surprennent tout le monde avec leur 2e album en intégrant des sonorités synthétiques et des climats glaçants pour leur ciné-concert sur le film "Dead of Night". Ce changement de cap façonne toute la suite: une recherche sonore qui ne peut se renouveler qu’en ouvrant à chaque album une nouvelle porte, n’hésitant jamais à prendre des risques. Assumant leurs choix, de chaque difficulté ils ont tiré parti en étant leur propre producteur auto-financés. A l'image du Bison de l’artwork, ils ont même failli disparaître, mais jamais cela n'a entaché leur créativité, au
contraire, c'est leur inspiration.
Leur dernier album « Sisyphus » (janvier 2020) est le résultat de ces années de persévérance : un rock
racé, une pierre qu'ils ont amenée tout en haut comme dans le Sisyphe de Camus, pour mieux la
regarder retomber … et la remonter.

Ardonau